| | David Gayddon [Validé - Humain] | |
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David Gayddon Agent du FBI
Messages : 32 Date d'inscription : 11/09/2009
| Sujet: David Gayddon [Validé - Humain] Ven 11 Sep - 16:00 | |
| Votre Personnage :
Nom : Gayddon Prénom : David Age : 38 ans Métier : agent du FBI
Histoire :[25 lignes complètes minimum]
-David!! David!! Sauve-moi!!
Suis-je forcé, à chaque nuit, de revivre les tourments de mon passé? Suis-je forcé de l’entendre me supplier de la sauver? Oui, je n’ai pas le choix, j’ai une haine à nourrir. Si je n’étais pas en train de devenir un peu plus fou et agressif à chaque jour, je ne serais pas aussi dangereux pour les créatures de la nuit.
Je me nomme David Gayddon. Agent spécial depuis 10 ans au FBI. J’ai besoin d’air, j’ai besoin de tuer. Tuer ses saloperies de vampires, vous comprenez? Si je suis devenu agent, ce n’est que dans ce simple et unique but. Rien d’autre ne m’anime, rien n’a d’importance. Pas depuis la mort de ma sœur. J’étais jeune, un peu idiot. Préférant la bière et les filles à mes études ou à ma famille. Un soir, j’ai dû apporter ma sœur dans l’une des fêtes qu’un de mes copains donnait. Une véritable torture pour l’adolescent imbécile que j’étais. Si bien qu’à un moment, je l’ai installée bien confortablement dans une chambre, et je lui ai demandé gentiment d’y rester. Comme si ma sœur de seize ans allait écouter ce que lui disait son grand-frère. Moi j’y croyais toutefois. Je n’ai plus été préoccupé par sa présence de toute la soirée. J’ai bien pris mon pied, et maintenant je le regrette plus que tout au monde. La fête battait son plein, l’alcool, drogue, musique, nous étions tous complètement pété, sauf moi. Du moins, pas encore. Je commençais tout juste à boire puisque j’avais dû prendre soin de ma sœur, m’occuper d’elle et paraître bien histoire qu’elle n’aille pas tout raconter à nos parents. J’avais dix-neuf ans à l’époque, bientôt vingt. J’étais loin d’être un mec bien mais j’aimais bien sauver les apparences. Ma sœur me ressemblait en quelque sorte, ou elle voulait me ressembler, ce qui n’était pas forcément une très bonne chose. Malgré tout, je l’adorais ma petite sœur. Toutefois, elle est rapidement sortie de sa chambre.
Mon copain vivait dans une sorte de chalet, bien enfoncé dans les bois. Un superbe endroit, où nous pouvions donner libre court à nos fête, monter le volume de la sono et faire toutes les conneries qui nous passaient par la tête. Tant que tout était en ordre quelques jours plus tard, lorsque ses parents débarqueraient. Pour nous c’était les vacances, la fin des cours. Donc je commençais tout juste à boire, mais l’idée de laisser ma sœur sans surveillance me travaillait. Une quinzaine de minutes plus tard je suis retourné dans la chambre, pour la trouver évidement vide. Je l’ai cherchée partout en vain. Jusqu’à ce que je me décide de quitter la fête et de me diriger vers la lisière de la forêt.
« Katrine!! Katrine! Merde me fait pas chier! »
J’étais furieux contre elle, mais également nerveux. Et si elle s’était perdue? Qui sait quelle sorte d’animaux se trouvaient dans cette forêt, loups, coyote… Qu’importe, elle était en danger. J’étais loin de me douter à ce moment là qu’il y avait des créatures bien pires que cela. Je me suis alors mit à gueuler plus fort, je voulais qu’elle m’entende. Mes hurlements ont portés ses fruits puisque je l’ai finalement entendu. Sa voix était faible, elle semblait souffrir, c’est ce dont je me souviens le plus. -David!! David!! Sauve-moi!! Je me suis mis à courir en sa direction. Lorsque je suis tombé sur elle, j’ai eu la pire vision de toute ma vie. Cet homme, cette créature qui la mordait furieusement, qui buvait son sang, qui était en train de la tuer… J’ai sortis mon arme. Je vous ai dit que je n’étais pas tout à fait clean à l’époque? Et bien je ne l’étais pas. J’étais un petit voleur, un petit drogué, tout ce que vous voudrez, mais je ne me suis jamais servi de cette arme avant cette nuit là toutefois.
J’ai tiré, j’ai tiré à de nombreuses reprises. J’ai visé le déchet de l’humanité. J’avais beau ne jamais m’être servi de l’arme, je devais sauver ma sœur, une force et une rage bouillait en moi, je n’avais peur de rien à ce moment là. Certaines personnes figent devant l’inconnu. Pas moi. Moi j’agis. La bête la finalement relâché et est partie. Je me suis élancé vers elle et je l’ai prise dans mes bras. Complètement ensanglantée, j’ai créé une sacrée frousse à tous mes amis drogués de la fête. Je n’avais pas de temps à perdre, J’ai fait venir une ambulance, tout en sachant que c’était trop tard. Personne ne m’a jamais cru. À sa mort ils ont annoncé qu’une bête, un animal s’en était prit à elle. Le blâme a été jeté sur moi et sur ma fête de dévergondés. Mais moi je savais que ce n’était pas ça. Ma vie à changée, entièrement. Je n’étais plus le même. J’ai terminé mes études et je suis entré facilement au FBI, malgré mon histoire. Deux ans plus tard, les vampires ont été annoncés au grand jour. Il a fallu trois ans pour qu’une nouvelle autopsie soit effectuée sur ma sœur et une autre année entière avant qu’ils ne révèlent qu’elle avait bel et bien été assassinée par l’une de ses créatures.
J’ai finis par reprendre une vie normale. Je suis un homme droit, un homme qui ne lâchera toutefois jamais l’affaire. Je n’ai qu’un bût en tête et c’est de retrouver l’assassin de ma sœur. Je déteste les vampires et je ne veux surtout aucun lien avec eux. Pourtant, ne suis-je pas en train de contredire mes propres principes? Dernièrement j’ai rencontré une femme extraordinaire…Un vampire. Attention, je ne suis pas encore au courant de ce léger détail…Elle est parfaite, elle ne me pose pas trop de questions, je n’aime pas parler de ma sœur ni de ce qui s’est produit dans le passé. J’adore la faire rire, j’aime prendre soin d’elle. Dernièrement je travaille beaucoup. Nous n’avons pas toujours l’occasion de nous voir. J’imagine que si nous étions plus souvent ensemble je finirais par apprendre qui elle est réellement. Moi qui croyait que j’étais capable de les sentir, que je savais instantanément ce qui était ou non vampire… Je me suis surestimé apparemment.
Je n’ai pas abandonné mon but. Mais est-ce qu’elle est avec moi parce qu’elle m’aime réellement, ou pour me rendre faible? Je ne sais pas, mais vais-je d’abord accepter son état de vampire?
Portrait moral (caractère , ...) : [ 10 lignes complètes minimum ]
Malgré la haine que je voue envers les créatures de la nuit, outre mes cauchemars et mon passé. Je suis un homme d’agréable compagnie. Je connais New-York comme ma poche et je pourrais vous faire passer un moment superbe en ses lieux. J’aime par-dessus tout le romantisme, je suis un mec un peu vieux jeu, mais terriblement agréable en ce sens je crois. J’aime prendre soin de ma partenaire autant que des mes amis. D’ailleurs, je ne suis pas une personne aimant être entouré de pleins de gens. Non, j’ai mon petit cercle d’amis très proches, je garde auprès de moi exclusivement les personnes en qui j’ai confiance. Rien d’autre. J’aime les choses simples et j’ai bon gout. Je reste toutefois concentré sur mon but et il est parfois difficile de m’en faire déroger. Lire dans mon esprit est ardu, j’ai tellement de choses en tête qu’il faudrait probablement travailler fort pour savoir à quoi je songe réellement. Toutefois, une chose est bien lisible et est dégagé par tous les pores de ma peau. La haine, la colère, J’ai l’impression de n’éprouver que cela. Ma sœur était tout pour moi et si je m’en veux de l’avoir laisser seule, il me semble que je dois la venger pour pouvoir trouver la paix. Ce qui est bien évidement faux. Je ne trouverai jamais la paix, mais au moins j’aurais débarrassé le monde de cette ignoble créature. Je suis un mec rebelle je crois, du moins c’est ce que mon supérieur ne cesse de me répéter lorsqu’il me suspend durant quelques jours… Il me dit également que je pourrais être bien plus haut gradé si je n’en faisais pas toujours rien qu’à ma tête. Et bien soit, je m’en fiche du poste que j’occupe, tant qu’il me permet d’avoir accès à des armes, que j’ai la plaque qui me permet de faire pas mal de chose qu’un civil ne pourrait pas effectuer.
Description physique : [ 7 lignes complètes minimum]
Je suis devenu un bel homme, mais si vous saviez à quel point cela m’importe peu. Si j’ai bien rencontré une femme dernièrement, aucunes d’entres elles ne m’a intéressé en près de huit ans. Je suis négligé, bagarreur, souvent blessé. Blessures bénignes, je fais attention à ne pas me mettre moi-même hors d’état de nuire. Je reste tout de même un homme charment et quelque peu timide. Vous auriez dû me voir quelques heures avant mon premier rendez-vous. Cherchant ce que je devais mettre pour bien paraitre à ses yeux. Je suis négligé mais je sais également bien paraître comment m’habiller et m’arranger pour ne pas avoir l’air d’un imbécile. J’ai un regard troublant, surtout lorsque je suis en contact avec un vampire. Je change, je deviens un tueur, je redeviens le gosse voleur et méchant que j’étais alors que lorsque l’on me connais personnellement, je met au défi quiconque de deviner à quel point je peux ressentir de la colère envers ses créatures. Je dissimule assez bien mon jeu à vrai dire.
Particularités : [facultatif ] Je crois que la haine que j’éprouve envers les vampires et surtout celui qui a tué ma sœur en devient presque une particularité…
Avatar choisi : Hugh Jackman
Dernière édition par David Gayddon le Ven 11 Sep - 16:54, édité 5 fois | |
| | | David Gayddon Agent du FBI
Messages : 32 Date d'inscription : 11/09/2009
| Sujet: Re: David Gayddon [Validé - Humain] Ven 11 Sep - 16:01 | |
| Pour les Postes Vacants Exemple de message RP de 20 lignes minimum [Obligatoire uniquement pour les nouveaux inscrits] - Spoiler:
L’ainé Spinelli ne savait rien à propos de la famille Giolitti, comme il n’en savait pas beaucoup à propos de la politique et de ce que son père avait pu accomplir dans le passé. Il fallait le comprendre. Il respectait Paolo, il n’avait absolument rien contre lui alors que ce dernier en avait bien plus sur le cœur. Outre le fait que Dante avait couché avec sa femme, bien que par mégarde cela restait tout de même un acte sensible d’être particulièrement ennuyeux pour le politicien, il était un Spinelli et le père de Julian. Ce qui était en somme bien assez. Mais l’italien avait passé la majorité de sa vie en dehors de Rome, loin de toutes ses histoires. Il avait mené sa vie comme il l’entendait et ne comptait pas changer à propos d’une chose; la politique lui donnait envi de vomir. Mais il était bon en autre chose, il savait réparer n’importe quoi, il ne manquait pas d’intelligence malgré ce que l’on pouvait croire et il aurait certainement fait un bon politicien si il n’avait pas voulu à tout prix déplaire à son père. Maintenant toutefois, l’idée de prendre part à la vie active d’un Spinelli le désintéressait toujours et bien qu’il voulait se rapprocher de Julian, il doutait fermement que ce ne soit en jouant les grands politicien qu’il y parviendrait. Un peu de diplomatie ne pouvait certainement pas lui faire de mal mais il ne toucherait pas à ce qui revenait de droit à son fils. Celui qui avait été plus près de Giovanni que quiconque. Si Dante ressemblait énormément à son père, bien que certaines choses les différenciaient, il avait les mêmes défauts. Cette tendance à agir promptement et agressivement, cette fierté malsaine, bien qu’il en avait certainement moins que Giovanni, le fait qu’il soit venu s’expliquer et s’excuser à Paolo le prouvait. Jamais le vieux Spinelli n’aurait agit ainsi. Dante lui ressemblait tout en étant totalement différent, mais ça, c’était une vie loin de Rome et de son père qui l’avait forgé ainsi. Si le quadragénaire était resté et avait laissé Giovanni le former comme un parfait hérité. Il serait probablement devenu un être tout aussi redoutable qu’il l’avait lui-même été. Dante ne savait pas si il devait se réjouir de cette perspective qui lui semblait peu alléchante. Il ne regrettait pas d’être partit, il ne regrettait pas certains choix, d’autres par contre lui déplaisait fortement, encore aujourd’hui, il lui semblait qu’il ne faisait pas les choix les plus éclairés. Comme coucher avec Olivia certainement… Comme s’en prendre à son fils lors de l’enterrement de son grand-père ou comme agir comme un parfait imbécile. Jamais Paolo ne se retrouvait avec une histoire malsaine dans l’Osservatore, jamais il n’avait agressé qui que ce soit. Il était peut-être temps pour Dante d’avoir une vie ordinaire. Bien qu’il était évident pour lui qu’il ne parviendrait pas à cela à Rome. Oublier son fils, il ne le pouvait pas. Alors? Que lui restait-t-il comme option? Celle d’être malheureux? Comprendre ce à quoi pouvait penser le quadragénaire n’était pas simple au fond. Si il projetait une image de Don Juan, celle d’un homme volage avec peu d’esprit et aussi peu de sensibilité, ce n’était pas exactement ce qu’il était. Cette parure était en quelque sorte une façon de se protéger de la douleur… La douleur d’un abandon ou d’un refus. Il avait souffert, et il souffrait toujours lorsque Julian le repoussait un peu plus à chaque jour. Il avait besoin d’aide. Il n’était pas venu rencontrer Paolo pour cela, mais une simple question lui avait traversé l’esprit, et il avait sentit qu’il se devait de la poser. Toutefois avant d’obtenir cette réponse là, Paolo avança autre chose, à propos de Julian et de Sara. Les propos qu’il tenait sur son fils ne manquèrent pas de froisser un peu l’italien, toutefois, il ne disait rien, écoutant le politicien jusqu’à la fin.
« Moi choix est celui que j’ai toujours tenu; rester à l’écart. Je ne me suis jamais interposé entre votre famille et la mienne. Je n’ai pas le droit de le faire maintenant. Je n’ai rien contre les Giolitti, comme je n’ai plus rien à reprocher aux Spinelli maintenant… » dit-t-il calmement, parlant évidement de son père.
Il avait été la cause de tous ses reproches. Maintenant, la famille était belle. Livio, Stella, leurs filles et Julian. Julian effrayait Paolo, mais pour cela, Dante n’y pouvait absolument rien. Les deux familles étaient condamnés à se renifler de derrière avec méfiance durant encore plusieurs décennies certainement. Il n’était certainement pas l’arbitre dans ce combat. Les deux meutes devraient apprendre à cohabiter, puisqu’elles partageaient les même valeurs et les même idéaux. Actuellement, Dante se retrouvait dans une position difficile, celle d’éviter les ennuis avec Paolo, mais également celle de protéger son fils et de répliquer à celui qui s’en prenait verbalement à lui. Il ajouta quelque chose toutefois, sans agressivité, sans quoi que ce soit d’autre que de l’amour pour son fils. Probablement la même que celle de Paolo envers Sara.
« Ne vous méprenez pas, mon fils est merveilleux également. Vous ne le connaissez pas, et vous ne voulez pas le connaître. Mais ça, je comprends parfaitement. » dit-t-il sans détourner le regard. Oui, il comprenait le conflit et le respectait. Il ne pouvait rien changer à des années de combat acharné. Paolo avait entièrement le droit de ne pas les aimer et ce devait être la même chose pour Julian, Dante était simplement bien loin de tout cela. Tellement éloigné qu’il ne ressentait pas de haine, qu’il n’était pas en colère, simplement indifférent. Paolo se décida finalement à répondre à la question de l’italien. Une réponse satisfaisante, mais qui ne venait malheureusement pas en aide au Spinelli. Il hocha simplement la tête, baissant les yeux. Si il n’avait eu aucune honte à dire à quel point Julian était merveilleux, dire à quel point il avait échoué en tant que père était plus difficile et plus cruel…
« Parce que je ne suis pas ça. » répondit-t-il, un gout amère dans la bouche. Il n’était pas une ombre qui l’enveloppait pour le protéger. Il n’était pas un père, ni un homme protecteur. Il avait échoué, échoué et échoué. « Parce que je ne sais plus quoi faire. » Pour qu’il accepte de l’avoir dans sa vie. Pour qu’il accepte de l’aimer. Pour ne plus être un imbécile et un raté. « Parce que j’aimerais qu’il me regarde comme elle vous regarde… » dit-t-il en posant finalement son regard dans le sien, souriant légèrement. Pourtant son regard n’exprimait en rien de la joie. Plutôt du regret, un sourire empreint de regret et d’amertume. Il rit doucement et ajouta : « Ne dite rien, je sais pertinemment ce en quoi j’ai échoué. » lâcha-t-il en hochant la tête et en avalant difficilement. Le spectacle qu’il donnait de lui, lui faisait probablement autant mal que le regard de Julian. Dante était un homme fier qui montrait très peu ce côté de lui-même. Ce côté qui regrettait, qui savait qu’il n’avait pas fait les bons choix. Autrement dit, derrière ce sourire charmeur dissimulait bien autre chose. Ce qui pouvait peut-être surprendre Paolo Giolitti. En une dernière tentative, il approcha légèrement le politicien, et le fixant droit dans les yeux ajouta : « Je n’aurais jamais touché votre femme. J’aurais agit autrement si j’avais voulu m’en prendre à vous. Je dois ressembler un peu à Olivia sur certains points, mais je suis fidèle et surtout pas une ordure à ce point Paolo… Et… » il marqua une pause, reculant légèrement avant d’ajouter : « Sur ce, je ne vous importunerais pas davantage. » Il était temps de partir, de laisser le Giolitti tranquille et surtout, il avait eu sa dose d’humiliation pour aujourd’hui.
HJ Prénom : Kate Sexe : Féminin Age : 19 ans Comment avez-vous connu le forum ? sur un certain ancien forum Des idées ou suggestions par rapport au forum ? Non Vos disponibilités pour poster: Une journée sur deux Les 3 Mots de passe présents dans le règlement: *** [OK by Lee] | |
| | | Lee Kramer Admin & Boss du Fantagasia
Messages : 57 Date d'inscription : 19/07/2009
| Sujet: Re: David Gayddon [Validé - Humain] Ven 11 Sep - 17:19 | |
| Bienvenue en ces lieux ! Alors, Alors...Tout me semble correct pour pouvoir incarner ce post vacant. Le règlement est signé, les codes sont bons, je ne vois aucun problème pour ta validation, tu sembles avoir bien cerné le personnage. Je te valide donc. Je t'ouvre les différents accès d'ici quelques minutes, bon jeu et amuses-toi bien | |
| | | Eléanore Nordwood Admin
Messages : 203 Date d'inscription : 17/07/2009 Age : 40 Localisation : New-York / Manhattan
| Sujet: Re: David Gayddon [Validé - Humain] Ven 11 Sep - 17:22 | |
| Toi en ces lieux sombres. Quel plaisir ma belle !!! Ta présence me fait très plaisir. J'espère que tu t'y plaira, nous avons un peu de mal à démarrer, mais nous ne perdons pas espoir. Amuse toi bien. *Cécé embrasse son Carlounet d'amour* | |
| | | Malik Dammaretz Ébéniste
Messages : 19 Date d'inscription : 17/08/2009 Age : 35
| Sujet: Re: David Gayddon [Validé - Humain] Ven 11 Sep - 17:27 | |
| Eh bien eh bien!! J'espère que tu vas tripper sur ce forum carlito!!!(moi cest Cole) | |
| | | Eden Hidewood Admin
Messages : 114 Date d'inscription : 17/07/2009
| Sujet: Re: David Gayddon [Validé - Humain] Ven 11 Sep - 17:28 | |
| Oh ma belle, j'avoue que je ne m'attendais pas à te voir débarquer ici mais j'en suis plus qu'heureuse ^^ Un gros gros bienvenue à toi, j'espère que tu te plaira ici même si nous sommes un peu au point mort ces derniers temps | |
| | | David Gayddon Agent du FBI
Messages : 32 Date d'inscription : 11/09/2009
| Sujet: Re: David Gayddon [Validé - Humain] Ven 11 Sep - 17:49 | |
| Merci bien Mister Kramer ... Kramer ... quel nom approprié, puisque je vais te faire cramer Je suis contente aussi, je m'ennuyais <3 Il y a un moment que je me cherche un personnage que je serais capable d'interpréter sur votre forum sans lâcher du jour au lendemain ... et puis j'ai vu ce pv et je suis tombée en amour hein <3 Hello Cole ^^! J'y compte bien hein! J'ai pas le temps de poster >_< XD je dois toujours éditer Aww je suis contente de te voir aussi ^^ On va le faire revivre ce forum XD | |
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| Sujet: Re: David Gayddon [Validé - Humain] | |
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| | | | David Gayddon [Validé - Humain] | |
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